Elle pourrait largement être sa fille, mais leur complicité naissante laisse entrevoir une relation beaucoup plus complexe. Une alliance qui va mener ce couple improbable au cœur d'enjeux économiques internationaux.
Une plongée dans la cybercriminalité organisée qui fera entrevoir au lecteur une des activités très souvent méconnue de la Corée du Nord.
Un récit inspiré de faits réels en parfaite adéquation avec ce nouveau monde naissant où le connecté occupe chaque jour davantage notre quotidien.
Cyber Casse un roman d'Alain Charret.
vendredi 5 octobre 2018
samedi 2 septembre 2017
En Corée du Nord, un 6e essai nucléaire près de 10 fois plus puissant que le précédent...
Deux secousses consécutives ont été enregistrées au pays de Kim Jong-un. La première était très forte, d'une magnitude de 6,3 et d'après la Corée du Sud et le Japon c'est le résultat d'un nouvel essai nucléaire. L'agence de presse sud-coréenne annonce que la nouvelle explosion serait 9,8 fois plus puissante que le dernier essai nucléaire. La deuxième secousse a été ressentie moins de 10 minutes après la première. Elle était un peu plus faible de magnitude 4,6 et serait due à un affaissement, selon le Centre chinois de surveillance sismologique. Ces secousses interviennent quelques heures après l'inspection par Kim Jong-un d'une bombe à hydrogène à portée intercontinentale.
(Médi-1, le 03-09-2017)
(Médi-1, le 03-09-2017)
mercredi 16 août 2017
Des agents nord-coréens interpellés près de l'usine de Dnipro, seraient toujours détenus en Ukraine...
Selon le New-York Times la Corée du Nord a utilisé des moteurs ukrainiens ces deux dernières années pour améliorer la propulsion de ses missiles, ceux-là même qui seraient pointés actuellement sur l'île de Guam. Selon l'enquête, les moteurs auraient été produits dans une usine de Dnipro, à l'est de l'Ukraine, une des rares usines au monde a en produire avec par ailleurs la Russie voisine. Les autorités ukrainiennes ont vigoureusement réagi et déclaré que l'Ukraine ne pourrait en aucun cas livrer du matériel à un État voyou tel que la Corée du Nord. Seulement en 2012, aux abords même de l'usine en question, des agents nord-coréens avaient été arrêtés en plein espionnage industriel. Ils sont d'ailleurs toujours en prison en Ukraine. À ce stade deux explications prévalent. Tout d'abord des moteurs de missiles ukrainiens auraient pu se retrouver sur le marché noir et donc arriver à P'yongyang, mais ces révélations pourraient également être une grande manipulation.
(Radio Vatican, le 16-08-2017)
(Radio Vatican, le 16-08-2017)
La Corée du Nord se serait procurée un moteur de fusée soviétique auprès d'une société ukrainienne...
Selon un spécialiste américain des missiles, de puissants moteurs de fusée construits par l’ex-Union soviétique ont probablement contribué aux progrès de la Corée du Nord dans les essais de missiles balistiques intercontinentaux. Michael Elleman de l’Institut international d’études stratégiques a publié lundi une nouvelle étude du missile balistique de portée intermédiaire Hwasong-12 et du missile balistique intercontinental Hwasong-14. M. Elleman a analysé des images vidéo des récents tirs de missiles et d’autres informations. Il considère plus que probable la possibilité que les moteurs utilisés par P'yongyang aient été dérivés d’un moteur à propergol liquide utilisé à une certaine époque sur les ICBM soviétiques. L’analyste fait remarquer que la Corée du Nord a utilisé, depuis septembre 2016 environ, le moteur modifié, pour des essais au sol et des tirs d’essai. M. Elleman indique qu’une usine de l’ex-État soviétique d’Ukraine qui fabriquait le moteur connaît des difficultés financières. Le Nord aurait aussi, apparemment, essayé d’acquérir dans le passé une technologie de missile auprès de l’usine. Il en conclut que les progrès rapides enregistrés en matière de technologie d’ICBM en Corée du Nord ont probablement été rendus possibles par l’acquisition au cours des deux dernières années d’un moteur soviétique hautes performances par des voies illicites. Lundi dans une déclaration, un haut responsable ukrainien a rejeté comme sans fondement l’hypothèse d’un transfert de technologie de l’Ukraine à la Corée du Nord. Le secrétaire du Conseil de la sécurité nationale et de la défense de l’Ukraine, Oleksandr Turchynov, a déclaré que le complexe défense-industrie du pays n’avait pas fourni d’armes ou de technologie militaire à la Corée du Nord. Il a souligné que ce qu’il nomme une campagne anti-ukrainienne avait été déclenchée par les services secrets russes pour détourner l’attention de leur participation aux programmes nucléaire et de missiles de P'yongyang.
(Radio Japon international, le 15-08-2017)
La Corée du Nord aurait obtenu sur le marché noir des moteurs pour son ICBM de type Hwasong-14 qu’elle a testé avec succès à deux reprises le mois dernier et ces engins proviendraient d’une usine ukrainienne liée dans le passé à la Russie. Cette information a été publiée hier par le New York Times. Le journal a en effet cité une étude menée par le chercheur Michael Elleman de l’institut international des études stratégiques (IISS) de Londres. Selon cette étude, aucun autre pays que la Corée du Nord n'a fait la transition d'une capacité de moyenne portée à un ICBM en une période aussi courte et le Nord s'est procuré de manière illégale un moteur à carburant liquide de haute performance (LPE) venant d’Ukraine, plus précisément de l’usine de missiles Ioujmach à Dnipro. Cela dit, l’usine en question a aussitôt démenti l'information. Elle a précisé ne jamais avoir eu de lien avec le programme de missiles nord-coréens, qu'il soit de nature spatiale ou pour la défense.
(Radio Corée internationale, le 15-08-2017)
(Radio Japon international, le 15-08-2017)
La Corée du Nord aurait obtenu sur le marché noir des moteurs pour son ICBM de type Hwasong-14 qu’elle a testé avec succès à deux reprises le mois dernier et ces engins proviendraient d’une usine ukrainienne liée dans le passé à la Russie. Cette information a été publiée hier par le New York Times. Le journal a en effet cité une étude menée par le chercheur Michael Elleman de l’institut international des études stratégiques (IISS) de Londres. Selon cette étude, aucun autre pays que la Corée du Nord n'a fait la transition d'une capacité de moyenne portée à un ICBM en une période aussi courte et le Nord s'est procuré de manière illégale un moteur à carburant liquide de haute performance (LPE) venant d’Ukraine, plus précisément de l’usine de missiles Ioujmach à Dnipro. Cela dit, l’usine en question a aussitôt démenti l'information. Elle a précisé ne jamais avoir eu de lien avec le programme de missiles nord-coréens, qu'il soit de nature spatiale ou pour la défense.
(Radio Corée internationale, le 15-08-2017)
La Corée du Nord s'apprêterait à tester un missile balistique lancé depuis un sous-marin, selon 38 North...
En pleine recrudescence de tensions avec les États-Unis, la Corée du Nord s'apprêterait à tester des missiles mer-sol depuis un sous-marin (MSBS). C'est ce qu’a révélé 38 North, un site web américain spécialisé dans les activités nord-coréennes, citant Joseph Bermudez, un expert de la défense du pays communiste. Le spécialiste a en effet analysé les photos prises le 7 août dernier par satellite sur le chantier naval de Sinpo, situé sur la côte ouest de la Corée du Nord. Il y a découvert un sous-marin couvert d’une toile cirée, très probablement pour camoufler les activités du site. Or, cette situation est similaire à celle précédant le tir de Bukgeukseong-1, un MSBS nord-coréen. Joseph Bermudez a également prévu comme modalité de lancement, un système de tir vertical. Justement, la chaîne d'information américaine CNN avait déjà fait savoir que le régime communiste avait procédé à trois tests de lancement de ce type en juillet dernier. Par ailleurs, le royaume ermite a tiré un MSBS en août 2016 pour protester contre l'exercice militaire sud-coréano-américain Ulchi Freedom Guardian.
(Radio Corée internationale, le 14-08-2017)
(Radio Corée internationale, le 14-08-2017)
jeudi 7 avril 2016
En 4 jours 1 007 avions et 715 navires impactés par le brouillage des signaux GPS effectué par la Corée du Nord...
La Corée du Nord a mis fin à ses opérations de perturbation de signaux GPS qu’elle avait débutées le 31 mars dernier. D’après le ministère sud-coréen des Sciences et de l'Avenir, les brouillages GPS perpétrés par le pays communiste ont été stoppés mardi après-midi. Séoul a pourtant décidé de maintenir l'alerte « précaution », son 2e niveau d'alerte sur une échelle qui en compte quatre. Toujours selon le ministère, 1 007 avions et 715 navires en ont été influencés pendant six jours, mais ils n’ont pas connu de grands dégâts.
(Radio Corée internationale, le 07-04-2016)
(Radio Corée internationale, le 07-04-2016)
samedi 2 avril 2016
La Corée du Nord continue de brouiller les signaux GPS...
Alors que la Corée du Nord poursuit ses opérations de perturbation de signaux GPS, commencées jeudi soir, Séoul a mis en garde P'yongyang et l'a averti qu'il allait payer cher ses sabotages, s'il ne les arrêtait pas immédiatement. Dans un communiqué publié aujourd'hui, le ministère de la Défense a dénoncé le Nord de poursuivre ses opérations de brouillage de signaux GPS à partir de quatre endroits près de la frontière inter-coréenne, à savoir, Haejou, Yeonan, P'yonggang et Geumgang. L'accusant de violer l'accord de cessez-le-feu et le règlement de l'Union internationale des télécommunications (UIT), le ministère a déclaré travailler de concert avec la communauté internationale pour faire payer au régime de Kim Jong-un cette provocation. De son côté, le ministère des Affaires étrangères a annoncé effectuer les démarches nécessaires auprès de la communauté internationale, en saisissant, entre autres, l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) et l'UIT. Les Nations unies ont également appelé le pays communiste à stopper immédiatement ses actes de perturbation des ondes GPS. La commission chargé de surveiller le cesse-le-feu du commandement de l'ONU a transmis un message en ce sens via Panmunjeom, le village de la trêve à cheval sur la frontière nord-coréenne. Selon le ministère de la Science et de l'Avenir, les brouillages GPS lancés par le pays communiste vers le sud continuent. Cependant, aucun dégât n'a été signalé jusqu'à présent. Le porte-parole du ministère de la Défense estime que P'yongyang allait poursuivre encore pendant un certain temps cette perturbation, étant donné que l'ampleur de l'attaque est similaire à celles que le régime de Kim Jong-un a perpétrées par le passé. La Corée du Nord dispose d'une dizaine d'appareils conçu à cette fin. Mais l'armée sud-coréenne a d'ores et déjà mis en service un système destiné à détecter les émissions de brouillages par le Nord.
(Radio Corée internationale, le 02-04-2016)
(Radio Corée internationale, le 02-04-2016)
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